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Un soir je vais boire un verre chez J.
On discute un moment, puis il commence à se rapprocher, à m’embrasser, à me mordre dans le cou, me passer la main dans les cheveux, avant de me les tirer en arrière.
Il observe ma réaction, je vois dans son regard qu’il a envie de jouer avec moi. Sa langue descend le long de mon cou, puis de ma poitrine. Il décale mon soutien-gorge, et avec sa langue, il s’amuse à lécher le bout de mon téton. Il le mord, le suce et le lèche.
Je gémis timidement.
Il remonte sa langue jusqu’à mon oreille, et me susurre :
J : J’ai envie de jouer avec toi, ton corps, tes désirs. J’ai envie de repousser tes limites. Tu me fais confiance ?
L : Oui.
J : Vas dans la chambre, regarde ce que j’ai préparé, et attends-moi. Je veux m’occuper moi-même de te déshabiller.
L : D’accord.
Je m’exécute.
En rentrant dans la chambre je vois des sangles avec des attaches, placées aux quatre coins du lit, ainsi que des plugs. Je n’ose pas m’asseoir, j’attends debout face au lit. J rentre, me regarde, se rapproche, et me plaque dos à lui.
J : Lèves tes bras.
Je m’exécute.
Il descend ses mains le long de mes hanches, en glissant sur mes cuisses, et attrape ma robe, et la remonte tout doucement en prenant bien soin de caresser chaque partie de mon corps. Il jette le vêtement au sol. Je frissonne, et ma respiration s’accélère. Il dégrafe mon soutien-gorge, qui rejoins ma robe par terre. Ses mains attrapent mon string et le font glisser tout doucement jusqu’au sol. Il me mord les fesses.
J : Assied toi sur le lit, face à moi, et écarte tes jambes.
Je m’exécute.
Il découvre ma chatte humide et gonflé.
J : Hum… Ta chatte est déjà bien luisante !
Il se penche au sol, et m’enlève mes talons, puis mes bas. Je suis haletante…
Je n’ai qu’une seule et unique envie à cet instant-là, c’est qu’il me prenne, là maintenant, tout de suite. J’ai envie de sentir sa queue en moi, mais je ne dis rien.
J : Allonge-toi, je vais t’attacher, et te torturer un peu.
Je m’exécute, et il m’attache les poignets, puis les chevilles, et il me bande les yeux.
J : Ne bouge pas.
L : Oui, Monsieur.
Il part un petit moment.
J’attends sur le lit, aveugle et immobile. Il commence à me caresser avec une plume. Je sens la plume glisser dans mon cou, puis sur mes seins, sur la pointe de mes tétons, qui durcissent à son toucher, et il descend sur mon ventre, puis mes cuisses…
J : Ouvre ta bouche.
J’ouvre ma bouche, et il y glisse un glaçon.
J : Redonne-le-moi.
Je m’exécute.
Il prend le glaçon, et le fais glisser de ma bouche, à mon cou, et il s’arrête sûr mes tétons. Il les suce, les lèches, les mord, et il finit par y passer les glaçons par-dessus. Je me tords de plaisir, je gémis, grogne… J’essaie de serrer mes cuisses, mais je n’y arrive pas. Je sens ma mouille couler, je deviens haletante.
A ce moment-là, je le sais, je ferai n’importe quoi pour sentir sa queue dure me prendre, encore, encore et encore, jusqu’à épuisement total de nos deux corps. Mais je ne dis rien, car je ne suis pas autorisé à parler. Même si l’envie de me faire punir m’excite beaucoup, je résiste.
Il descend le glaçon sur mon ventre, puis sur mon clitoris. Il appuie dessus avec le glaçon. Je pousse un petit cri, mon souffle commence à être court.
L : J’ai envie de toi !
J : Tu as envie que je te prenne ?
L : Oui. Je t’en supplie…Je lâche désespérée.
J : Pas tout de suite, j’en ai pas finis avec toi.
Il détache mes pieds, me retourne sèchement, glisse un coussin sous mon ventre, et me rattache les pieds. Il prend de l’huile de massage, et commence à me masser les cuisses, en remontant vers ma chatte trempé, y insère quelques doigts, très vigoureusement. Mon corps est brulant, j’ai l’impression que je vais exploser, tellement je suis excitée.
Il attrape mes fesses, les masses, les mord, les claques. Il joue avec ses doigts dans mon cul, avant d’y insérer le plug délicatement. Je commence à bouger, à gémir de plus en plus fort.
J : Arrête de bouger ! Endure le plaisir, repousse tes limites. Tu es qui ?
L : Je suis ta chienne.
J : C’est bien, et tu as envie de quoi ?
L : J’ai envie que tu me baises.
J : Pas encore, je pense pouvoir te pousser plus loin.
Il arrache le plug de mon cul, et me sodomise avec un plug plus large que le précédent. Il s’amuse à faire sortir, rentrer, tourner ce plug dans mon cul. Ma chatte coule partout sur le lit, je suis arrivée au bout de ce que je peux endurer.
L : Je n’en peux plus, je t’en supplie prends moi, encule moi, fait de moi ce dont tu as envie. Mais je t’en supplie je veux sentir ta queue en moi. Je veux que je tu me remplisse.
J : C’est exactement là où je voulais en arriver. Que tu me supplie de te remplir, de te souiller, que tu sois à ma merci, le cul bien ouvert.
Demande-le-moi encore.
L : Encule-moi, souille-moi, remplit-moi je t’en supplie.
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