D me sert un verre, dans son salon. Une tension sexuelle très forte se fait ressentir. Je suis intimidée, cette tension est malaisante. La façon dont il me dévisage, il le sait, je le sens, et il en joue.
D : Déshabille-toi.
L : Pardon ?
D : Tu as très bien entendu, déshabilles-toi. Tout de suite, devant moi !
Positionne-toi, à genoux, face à moi.
Je m’exécute. Je me lève, me déshabille, doucement et timidement. D fait son sourire du diable en me voyant faire. Je suis à genoux, nu, devant lui, complètement vulnérable, offerte à lui. Il me regarde un moment, puis se lève, et quitte la pièce.
D : Ne bouge pas.
Il part en me laissant là, nu et en pleine perplexité. Il revient, l’air satisfait.
D : Vas te mettre dans la même position, dans ma chambre, face au lit.
Je rentre dans la chambre, et découvre sur le lit divers jeux : martinet, cravache, plugs, bandeau, menottes, cordes… Je suis mitigée. Partagée entre excitation, questionnement et appréhension. Il arrive dans la chambre.
D : Je vais jouer avec ton corps, repousser ton plaisir encore plus loin. Tu connais le mot d’alerte ?
L : Rouge ?
D : Parfait, ne l’oublie pas.
Il me bande les yeux avec le loup, m’attache les mains dans le dos, me penche en avant, et pose ma tête au sol. Je sens des lanières glisser sur mon dos, et d’un coup, claquer sur mon cul.
Je crie.
Je ne sais pas si c’est du plaisir ou de la douleur, mais j’en veux encore.
D : Tu en veux encore ?
L : Oui, je lâche haletante.
Il recommence, six fois de suite. Je dégouline de sueur, c’est éprouvant mais à la fois terriblement excitant.
D me caresse les fesses avec beaucoup de douceur, commence à jouer avec mon cul, y met un doigt, puis deux. Il y insère un plug, et commence des vas et vient, puis des ronds. Je me tords de plaisir, c’est si bon, j’ai envie de sentir sa queue bien dure en moi. J’ai envie qu’il me baise, là, tout de suite, mais je ne dis rien. J’attends, c’est lui qui décidera quand ce sera le moment.
Il décide de changer le plug, et de passer à la taille supérieure. Je gigote de plaisir, et d’impatience aussi. Je pousse des gémissements.
Il passe devant moi, me relève le buste pour me remettre à ma position de départ. A genoux, devant lui. Il m’enlève le bandeau des yeux.
D : Je veux voir ton regard, quand tu vas me sucer sans tes mains. Seulement ta bouche et ma queue.
En tant que soumise docile, j’obéis, j’ouvre ma bouche, le regardant dans les yeux, dans l’attente. Je sais que ça va être brutal. Il enfonce sa queue de toute sa puissance, ce qui me fait reculer.
D : Ne t’enfuies pas, assume tes dires. Suce-moi, avale ma queue !
Je commence à le sucer, et cracher sur sa queue si dure, tout en le regardant dans les yeux, pour voir le plaisir que je lui donne.
Il prend ma tête, et commence à me baiser la bouche, de plus en plus fort, que j’ai envie de vomir. Il se recula, et tout me coula dessus. Il grogne fort. Ça veut dire qu’il apprécie fortement ma gâterie, je suis heureuse de lui procurer autant de plaisir. J’aime sentir sa queue dans ma bouche.
Il s’assoit sur le rebord du lit, et je continue de le sucer. Il décide de jouer avec le plug planter dans mon cul. Je gémis, et gigote beaucoup.
D prend ma tête, enfonce sa queue le plus possible, j’ai l’impression que je vais m’étouffer, puis il se recule, et pose ma tête au sol.
D : Cette position, c’est ta condition ! La tête au sol, les mains attachées dans le dos, le cul en l’air, et un plug planté dedans. Tu es ma Salope !
L : Oui, Monsieur.
Il enlève le plug de mon cul, et prends la taille encore au-dessus, et l’insère dedans d’un coup. Je gémis, et bouge vigoureusement.
D : Je vais te baiser si fort ma chienne.
Avant même d’avoir fini sa phrase, je sens sa queue pénétrer ma chatte dégoulinante. C’est bestial, une réelle délivrance pour moi. En me baisant si brutalement, il appuie sur le plug. Putain c’est tellement bon ! Je gémis très fort, je ne veux pas qu’il s’arrête.
Il arrache le plug de mon cul, et admire le trou qu’il a conditionné.
D : Ce cul, j’ai envie de le souiller ! Demande-le-moi.
L : Encule-moi. Souille-moi mon petit cul.
D : Oh oui je vais t’enculer si fort ma chienne. Ecarte tes fesses !
L : Oui Monsieur.
Je m’exécute. J’écarte mes fesses.
Il me pénètre, doucement, de tout son long, et il ressort entièrement. Il réalise plusieurs vas et viens, de plus en plus loin, avec plus de puissance à chacun de ses coups.
Puis tout à coup, il perd totalement le contrôle de nos corps, il lâche prise, et laisse sortir l’animal, qui sommeille en lui.
C’est tellement bon ce moment, j’aime le sentir libre, et sentir sa queue au fond de mon cul. J’aime le voir perdre le contrôle.
Il se retire, me lève, me pousse sur le lit, et me positionne sur le ventre, face à un miroir.
Je crois qu’il veut me voir encaisser, le voir me sodomiser, avec toute sa force et sa puissance.
D : Regarde-toi.
Je veux que tu me regarde t’enculer, et te souiller sans aucune retenue de mes coups. Je veux voir couler mon foutre de ton cul.
Écarte tes fesses ! Tu es quoi ?
L : Je suis ta Souillon.
D : Dis-moi ce que tu veux.
L : J’ai envie que tu souilles mon cul.
Il me regarde à travers le miroir et me sodomise d’un coup.
C’est violent, brutal. Je hurle, il grogne fort, je le vois, ça l’excite encore plus j’ai l’impression.
On se regarde dans les yeux à travers le miroir.
Moi à ma place de soumise, entrain d’encaisser les coups de reins qu’il me donne. Et lui, à sa place de dominant, en train de souiller le cul de sa salope.
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