Quand M. me fait aimer l’arithmétique.
[17:05] M: 407. Tu déposes l’intégralité du matériel sur le lit, et te mets ensuite debout, les mains plaquées contre le mur, totalement cambrée.
[17:06] M: Et tu gardes les yeux baissés pour ne pas croiser mon regard.
Soustraction : 40
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40 coups de ceinture,réduits de 4,
pour bonne conduite,
soit 36.
Multiplication : x3
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Confesser s’être caressée quasi tous les jours depuis la dernière fois :qu’il sache combien de fois cingler mon cul (une centaine, pour être honnête).
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À 18 heures, je suis à quatre pattes sur le lit. Le visage souillé de ma salive la plus épaisse. Celle du fond de la gorge. Il l’a étalée avec le bout de sa queue, sur mes joues, mes paupières. En me demandant de garder la bouche ouverte.
Ça m’a surprise. Pas le geste : mon excitation. D’aimer ce filet de bave qui relie ma bouche à son gland. De savourer la caresse de son membre sur ma peau.De redevenir chienne.
J’ai le cul en l’air. Rougi à souhait. Il chauffe.Je suis serrée de partout. J’ai peur d’avoir mal, mais il prend son temps pour m’ouvrir.
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Son téléphone en mode « chronomètre » est posé juste à côté, de façon à ce que je puisse le consulter.La durée me semble d’un coup audacieuse.Mais je l’ai choisie.J’ai convenu de ce temps où je ne suis qu’un trou.Lentement il sort de mon cul.Et il rentre.Et il ressort à nouveau. Chaque fois, mes fesses s’écartent. Le laissant progresser en moi, chaque fois plus loin
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10 minutes. Et je jouis déjà.Ça m’avait manqué.La preuve : c’est moi qui m’empale à nouveau sur son chibre.Je le veux. Encore.J’ai toujours mal mais je m’en fous. Je veux douiller. Qu’il me défonce. Qu’il me déchire. Qu’il me pète en deux s’il faut. Je m’en fous. Chaque coup me transporte plus loin, là où je ne pense plus.« Je vais éduquer ton cul. »Il me dit ça en m’enculant de plus en plus fort. Il bourrine et ça me fait gueuler cette intrusion.Je sens son sexe gonfler, prendre possession de mes entrailles. J’en ai presque les larmes aux yeux de retrouver ce lien, cette dynamique qui me fait le laisser me mener là où il veut.Sa queue distend mon anus, assouplit ses contours : il le travaille. Il va continuer jusqu’à ce qu’il cède.Il le sait : mes muscles ne tiendront pas longtemps.Je le sens regarder comment je me dilate, comment je m’ouvre. Je re-découvre ces sensations déstabilisantes quand mon corps épouse son sexe.Je pourrais mourir de honte mais ça me plait : on y est.« Tu vas jouir et tu sais pourquoi ? »« Parce-que je suis ta salope anale. » je m’entends lui répondre, mes doigts liés aux siens.La sienne et c’est ça le kiffe : être dépossédée de moi-même.J’explose.
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114 jours que je n’avais pas joui du cul.Le lit est en bordel alors que l’on n’a pas défait les draps. Mes orgasmes se sont répandus sur le tissu et ont heurté les murs (nous penserons aux voisins plus tard).Je m’effondre à plat ventre sur le lit. Je n’ai qu’une idée en tête : qu’il jouisse, qu’il me remplisse de son foutre parce-que je veux l’entendre prendre son pied. Je veux entendre ce « putain », l’entendre se vider les couilles.Jouir parce-que je l’excite, Jouir parce-que je me soumets.Et quand que je sens son souffle dans mon cou, son jus couler d’entre mes fesses et le poids de son corps sur le mien : je souris.
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Un regard sur le chrono : 55 minutes.
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Le temps d’une leçon magistrale.
Allez plus loin en lisant notre article sur le strapon ou god ceinture.